Né à Samedan d’un père davosien et d’une mère originaire de son village natal, Flurin Randegger a découvert la Coupe Spengler lors de son adolescence puisqu’il a grandi à Bâle. Junior au HC Davos, il n’a jamais eu sa chance pour le tournoi de fin d’année, tout comme son frère Gian-Andrea (actuellement avec Ambrì-Piotta). Cette année, avec Genève-Servette, le Grison réalise son rêve d’enfant : disputé le plus vieux tournoi européen de hockey sur glace.
Durant la semaine de compétition, l’équipe du gshc.ch va donner la parole à Randegger pour qu’il nous parle de son tournoi. Flurin s’est confié à l’issue du premier entraînement sur la glace grisonne disputé cet après-midi. Etre à la Coupe Spengler « Ça fait plaisir d’être ici à Davos pour la Coupe Spengler. A l’entraînement, nous avons pu profiter d’une glace rapide. Les sensations sont bonnes, y compris sur ma ligne avec Morris Trachsler et Eric Walsky. Ce premier entraînement était très sympa. » Spécial pour lui « C’était un rêve depuis que j’étais enfant. J’ai toujours voulu jouer ce tournoi. Je me réjouis d’être demain, à 15h, sur la glace pour le match d’ouverture. » L’adversaire de demain « Saint-Pétersbourg a fait de gros progrès depuis le tournoi de Bâle. C’est sûr qu’ils sont meilleurs qu’en été. Je pense toutefois que nous avons le niveau pour rivaliser avec eux. Il faudra le vérifier sur la glace demain. » L’équipe du gshc.ch a également profité de l’entraînement du jour pour réaliser une série de clichés.