26 décembre 2010

La Coupe Spengler avec Randegger (2)

Né à Samedan d’un père davosien et d’une mère originaire de son village natal, Flurin Randegger a découvert la Coupe Spengler lors de son adolescence puisqu’il a grandi à Bâle. Junior au HC Davos, il n’a jamais eu sa chance pour le tournoi de fin d’année, tout comme son frère Gian-Andrea (actuellement avec Ambrì-Piotta). Cette année, avec Genève-Servette, le Grison réalise son rêve d’enfant : disputé le plus vieux tournoi européen de hockey sur glace. 

Durant la semaine de compétition, l’équipe du gshc.ch va donner la parole à Randegger pour qu’il nous parle de son tournoi. Flurin s’est confié à l’issue du premier match, contre Saint-Pétersbourg, disputé durant l’après-midi.   Entrée sur la glace « C’était très spécial, surtout au tout début avec tout ce monde ici à Davos, car ce n’est jamais comme cela pour une autre équipe que le « HCD » lorsque nous venons jouer contre Davos. »   Premier match à la Coupe Spengler « Bien sûr que l’entrée sur la glace était plus spéciale pour moi qui suis Grison. Mais j’ai vite tout mis de côté pour me concentrer sur le match et réaliser de bonnes choses pour l’équipe. »   Défaite contre le SKA « On a bien joué, c’est vrai. Mais il y a quand même la défaite, ce qui fait que nous avons un peu un goût amer dans la bouche après ce match. Nous sommes d’autant plus déçus que nous pouvions gagner ce match. »   L’adversaire de demain « Nous devrons gagner demain. Je pense que Prague est un peu en dessous de Saint-Pétersbourg au niveau du jeu et du talent. Il faudra aller à fond, comme cet après-midi, et tout faire pour marquer des buts et gagner. »  

 

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