Genève-Servette n’a plus perdu depuis le 1er novembre, de quoi largement réjouir Chris McSorley. L’équipe du gshc.ch revient en compagnie de l’entraîneur genevois sur le match de samedi dans ce nouveau « Vu du banc ».
gshc.ch : « Bonjour Chris. Une neuvième victoire consécutive contre Langnau, c’est phénoménal… »
Chris McSorley : « Définitivement, c’est un très beau parcours. Nos joueurs ont vraiment du plaisir en ce moment. Ils voient actuellement que le dur travail effectué aux entraînements, porte ses fruits. Ils sont disciplinés et suivent la stratégie. De plus, l’ambiance et l’état d’esprit dans le vestiaire sont au plus haut. Est-ce que ça va durer pour toujours ? Non. Il y a deux types de séries dans le sport : la série gagnante et la série des défaites. La première est celle que nous voulions avoir et souhaitons continuer à avoir. »
gshc.ch : « Mais il y a quand même un point noir : Genève-Servette ne gagne pas après 60 minutes. »
Chris McSorley : « C’est sûr. Je pense que nous devons mettre plus de « désespoir » dans notre façon de jouer. Je ne pense pas que notre équipe ait été suffisamment « désespérée » samedi. Les joueurs ont commencé plutôt lentement contre Langnau. Par contre, je suis très content de la manière dont nous avons joué contre Lugano à la maison. Je pense que nous aurions pu facilement inscrire trois ou quatre buts de plus, mais Aebischer a sorti un grand match. J’aime le fait que nous nous créons des chances de marquer et que l’équipe reste soudée en défense. Nous ne sommes pas à la deuxième place par accident, nous sommes réellement la deuxième équipe de ce championnat et nous espérons continuer à conserver cette position. »
gshc.ch : « Demain, à Davos, vous pouvez passer la barre des dix victoires consécutives et des 100 buts marqués. De plus, c’est dans une enceinte qui convient bien à Genève-Servette. »
Chris McSorley : « Nous sommes une équipe excitante à voir. Nous marquons beaucoup de buts et notre équipe crée beaucoup de phases offensives. Nous offrons beaucoup de spectacles à notre public. Atteindre le plateau des dix victoires est quelque chose d’important. Ce que nous créons à Genève c’est le goût de la victoire, que nous gagnions en temps réglementaire ou en prolongation. C’est quelque chose de difficile à développer mais une fois que vous l’avez, vous voulez le garder. »
gshc.ch : « Bonjour Chris. Une neuvième victoire consécutive contre Langnau, c’est phénoménal… »
Chris McSorley : « Définitivement, c’est un très beau parcours. Nos joueurs ont vraiment du plaisir en ce moment. Ils voient actuellement que le dur travail effectué aux entraînements, porte ses fruits. Ils sont disciplinés et suivent la stratégie. De plus, l’ambiance et l’état d’esprit dans le vestiaire sont au plus haut. Est-ce que ça va durer pour toujours ? Non. Il y a deux types de séries dans le sport : la série gagnante et la série des défaites. La première est celle que nous voulions avoir et souhaitons continuer à avoir. »
gshc.ch : « Mais il y a quand même un point noir : Genève-Servette ne gagne pas après 60 minutes. »
Chris McSorley : « C’est sûr. Je pense que nous devons mettre plus de « désespoir » dans notre façon de jouer. Je ne pense pas que notre équipe ait été suffisamment « désespérée » samedi. Les joueurs ont commencé plutôt lentement contre Langnau. Par contre, je suis très content de la manière dont nous avons joué contre Lugano à la maison. Je pense que nous aurions pu facilement inscrire trois ou quatre buts de plus, mais Aebischer a sorti un grand match. J’aime le fait que nous nous créons des chances de marquer et que l’équipe reste soudée en défense. Nous ne sommes pas à la deuxième place par accident, nous sommes réellement la deuxième équipe de ce championnat et nous espérons continuer à conserver cette position. »
gshc.ch : « Demain, à Davos, vous pouvez passer la barre des dix victoires consécutives et des 100 buts marqués. De plus, c’est dans une enceinte qui convient bien à Genève-Servette. »
Chris McSorley : « Nous sommes une équipe excitante à voir. Nous marquons beaucoup de buts et notre équipe crée beaucoup de phases offensives. Nous offrons beaucoup de spectacles à notre public. Atteindre le plateau des dix victoires est quelque chose d’important. Ce que nous créons à Genève c’est le goût de la victoire, que nous gagnions en temps réglementaire ou en prolongation. C’est quelque chose de difficile à développer mais une fois que vous l’avez, vous voulez le garder. »