Il y a désormais 3-0 dans la série pour le GSHC. Mais cela ne veut pas dire que c’est fini pour autant. Car, pour reprendre la formule consacrée, le quatrième point est toujours le plus difficile à aller chercher.
Cette réalité est basée sur l’expérience des équipes. Lorsqu’il est au pied du mur, l’adversaire joue généralement complétement libéré, car il a tout à gagner. Il n’en est donc que plus dangereux durant ces soixante minutes, et tout ce qui sera joué en plus ne sera, au final, que du bonus.
Pour l’équipe qui est proche de la qualification, il y a généralement une petite pression supplémentaire : celle de ne pas manquer la qualification qui lui tend les bras. Il n’existe qu’un seul remède pour éviter de tomber dans ce piège : se convaincre que cette rencontre qui arrive n’est, au final, qu’un match du début de la série.
La solution pour les joueurs de Chris McSorley est donc de continuer à travailler comme ils l’ont fait depuis l’Acte I. Leur façon de jouer pose des problèmes à la formation dirigée par Gerd Zenhäusern. Ce n’est qu’ainsi qu’ils pourront regarder plus loin. Ils ne doivent surtout pas compter sur leur adversaire pour leur faire de cadeaux, d’autant plus que le match se joue à la BCF Arena.
Les arbitres pour les matchs de demain ne sont pas encore connus.