AUTOUR DE LA GLACE
Zoom sur les
Cheerleaders 2
La collaboration avec le GSHC, comment se passe-t-elle ?
Excellente ! Le Club nous soutient, nous met en avant, nous
valorise et c’est génial. Du coup, on participe à presque tous
leurs événements. Depuis l’arrivée d’Andrés, responsable
événementiel au GSHC, nous sommes poussées à notre
maximum. Il est très exigeant et on est mieux encadrées au
niveau du show. Il nous conseille, nous propose de nouvelles
idées et nous avons intégré ses spectacles d’avant-match.
Il y a une vraie et saine collaboration. Pourvu que ça dure !
L’ambiance au sein de l’équipe ?
Elle est bonne et c’est une obligation ! Je mise beaucoup sur
la cohésion du groupe. Au final, on est comme une équipe de
hockey ou de football. On est pratiquement toujours ensemble
et on fait beaucoup de choses en équipe. Je fais en sorte
personnellement que l’ambiance soit toujours bonne au sein
du groupe sans oublier de garder un petit côté compétiteur
en chacune de nous quand même.
Personnellement, quand penses-tu passer le flambeau ?
Cette équipe, c’est mon bébé. Mais il a quand même 18 ans !
Un jour peut-être j’arrêterai d’être sur la glace tous les soirs de
match mais je ne serai jamais loin de cette formidable équipe.
Quels sont tes objectifs futurs ?
Je trouve qu’on atteint un très bon niveau depuis deux saisons,
on fait tous les matchs du GSHC à domicile, on participe
au Championnat suisse, on fait également des événements
hors matchs ou compétitions. Notre but reste de progresser
et de performer au mieux, pour que chaque match soit un
événement particulier.
Elles sont devenues un maillon incontournable de la famille
du Genève-Servette Hockey Club. Vous les voyez mettre
l’ambiance tout au long des soixante minutes. Elles sont
même présentes sur beaucoup d’événements du GSHC. Vous
l’aurez compris, le Grenat s’intéresse aux Geneva Wild Eagles
Cheerleaders grâce à sa capitaine Deborah Geiser que nous
avons rencontrée. Suite de l’interview.
Entre les deux entraînements, les matchs, les événements
et les compétitions cela fait beaucoup, non ?
D’autant plus qu’on travaille ou qu’on étudie toutes à côté!
Le recrutement est devenu un vrai challenge, car il faut des
filles qui ont de bonnes bases de danse, mais surtout et
avant tout, du temps ! C’est en fin de saison que c’est le plus
difficile, quand il faut gérer les shows et les entraînements
supplémentaires pour la compétition. C’est beaucoup de travail!
Et cela représente une grande équipe à gérer…
Une fois les blessées et la future maman mises à part,
officiellement, on est une équipe de 18 danseuses. Cependant,
pendant les matchs on est 15 performeuses. Cela nous permet
donc de faire un petit tournus et de laisser certaines filles se
reposer.
Comment l’équipe fonctionne financièrement ?
Nous arrivons à financer la saison grâce à notre repas de
soutien et nous sommes soutenues par le GSHC pour nos
shows durant les matchs. Par ailleurs, Perskindol nous fournit
du matériel.
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