26 mai 2014

Rétrospective 2013-2014 – Roland Gerber

La saison helvétique a touché à sa fin et il est temps pour gshc.ch de se replonger une dernière fois dans l’exercice écoulé. Au cours de cette rétrospective 2013-2014, nous allons revenir sur le parcours de chaque joueur ayant porté le maillot grenat au cours de l’exercice, soit un total de 33 athlètes. Nous n’écrirons toutefois pas autant de rétrospectives, mais regrouperont, parfois, certains joueurs qui partagent un point commun. Aujourd’hui, intéressons-nous à Roland Gerber.

Saison régulière

(50 matchs, 9 points, 26 minutes de pénalité, -5, 40 tirs)

Le rôle de Roland Gerber avec le GSHC n’est clairement pas de marquer un grand nombre de points. Mais, depuis son arrivée en 2011, il a régulièrement pris part à la production offensive. Cette saison, il a inscrit neuf points, soit un de plus que lors des deux dernières saisons cumulées.

Chris McSorley attend de Roland Gerber qu’il mette la pression sur l’adversaire et qu’il apporte de l’énergie à son équipe via un jeu physique. Le Bernois est d’ailleurs un spécialiste du jeu dur, mais correct, lui qui accumule peu de minutes de pénalité malgré son style.

Avec Chris Rivera, il forme le noyau dur de cette quatrième ligne si importante pour chaque équipe. L’ajout de Lennart Petrell lors de la Coupe Spengler, décision reconduite ensuite en Championnat, a d’ailleurs permis d’apporter un complément idéal aux deux Helvètes. Cela s’est notamment vérifié en Playoffs.

Statistiquement, Roland a participé à tous les matchs du GSHC (tout comme Juraj Šimek, Lennart Petrell, Christian Marti et Daniel Vukovic). Il a marqué cinq buts. Le premier était à Lugano lors du troisième match. Il a connu un match à deux assists le 10 décembre à Zoug. Point noir toutefois, Gerber a terminé la saison avec un +/- négatif, un des trois seuls joueurs réguliers dans ce cas aux Vernets cette saison.

Playoffs

(12 matchs, 2 points, 6 minutes de pénalité, +1, 9 tirs)

Lors des séries, Roland et la quatrième ligne ont rarement été pris en défaut dans le jeu défensif. Dans un contexte où le jeu physique est encore plus important, il a su tirer son épingle du jeu tout en restant dans les limites fixées par le corps arbitral.

L’impact comptable de Roland est toutefois moins chiffrable que ses statistiques. En effet, avec son travail de l’ombre, il a souvent permis aux Aigles de garder une chance de s’imposer. Ses deux assists lors de la demi-finale ont donc été un bonus pour le GSHC.

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