06 janvier 2017

Damien Riat – « C’était très spécial à vivre »

A l’aube de ses 20 ans (il les fêtera le 26 février), Damien Riat a vécu ses derniers Championnats du Monde juniors. A Montréal et Toronto, il a porté fièrement le maillot suisse, inscrivant un but et délivrant cinq assists en cinq rencontres (troisième compteur de son équipe). Le beau parcours de la relève helvétique s’est terminé lundi contre les États-Unis, sacrés cette nuit. Damien a retrouvé ce matin la glace des Vernets.

gshc.ch : Parle-nous de ton expérience à ces Championnats du Monde des moins de 20 ans.
Damien Riat : Ça s’est super bien passé. C’était assez incroyable de se retrouver dans ces deux grosses patinoires (le Centre Bell à Montréal et le Air Canada Center à Toronto, plus de 19'000 places chacune) avec des spectateurs fous de hockey. C’était très spécial à vivre !

En Amérique du Nord, c’est une compétition très suivie…
Il y avait également quand même pas mal de supporters helvétiques ! C’était cool d’être encouragé jusque là-bas par des Suisses.

Tu as eu des responsabilités en étant nommé capitaine-adjoint pour la durée de la compétition, et même capitaine lorsque Calvin Thürkauf a été malade. Qu’est-ce que ça a représenté pour toi ?
C’est déjà un honneur de porter le maillot national. En plus, c’était une belle expérience d’avoir ces responsabilités. J’ai vraiment vécu l’expérience à fond.

La Suisse a connu un superbe parcours, hormis le match contre la Finlande. C’était une belle performance de l’équipe nationale !
Nous avons vraiment bien joué, hormis ce fameux match contre les Finlandais. Nous sommes même passés tout proches d’un exploit en quart de finale face aux États-Unis. Nous étions vraiment bien dans ce match, et cela ne s’est pas joué à grand-chose pour que le résultat soit en notre faveur.

Y a-t-il des regrets pour ce match contre la Finlande ? Cela aurait peut-être été plus simple en quart de finale…
Je ne pense pas. Nous serions tombés contre les Russes, ce qui n’aurait pas été plus facile que les États-Unis. Une victoire contre la Finlande n’aurait pas changé grand-chose à notre beau parcours.

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