23 octobre 2008

Avant match – Attention aux pièges

Demain soir, le Genève-Servette reçoit le néo-promu Bienne. Pour les Grenat, ce ne sera pas un match facile, comme en témoigne la première rencontre entre les deux équipes cette saison, au cours de laquelle les Biennois s’étaient offerts les plumes des Aigles lors des tirs au but (3-2).

L’histoire commune des deux clubs ne s’est écrite qu’en LNB. Au plus haut niveau, Genevois et Biennois se sont croisés pour la première fois que le 19 septembre dernier. En effet, lorsque Genève-Servette quittait l’élite en 1975, Bienne prenait le chemin inverse et s’installait en LNA pour y remporter trois titres : 1978, 1981 et 1983. Ensuite, les Seelandais retrouvaient la LNB en 1995 et attendaient treize ans pour retrouver l’élite.

L’histoire commune des deux équipes a offert de très beaux affrontements avec de nombreux rebondissements et du suspense quasiment à chaque rencontre. La première partie de LNA entre Bienne et Genève-Servette n’a d’ailleurs pas failli à l’histoire avec un match digne des précédents, avec un niveau de jeu digne de la LNA.

La rencontre de demain soir aux Vernets devrait donc s’inscrire dans la même veine. Si, à Bienne, le public du Stade de Glace avait poussé son équipe vers la victoire, il est à parier que celui des Vernets voudra faire tout aussi bien. Alors, n’hésitez plus et joignez-vous aux 4500 abonnés du GSHC pour venir à bout du néo-promu ; début du show à 19h30 et du match à 19h45.

Samedi soir, les Grenat iront en terrain désormais conquis. Après plusieurs saisons de doutes, les Aigles ont enfin vaincu le signe indien qui les paralysait à la Diners’ Club Arena de Rapperswil. Face aux « bleu ciel », les Genevois ont remporté trois des cinq dernières rencontres disputées en terre saint-galloise, contre quasiment aucune les saisons précédentes. Ils ont d’ailleurs gagné la dernière partie disputée la saison passée sur le score de 3-1, c’était lors des quarts de finale. Et puis, les Lakers sont toujours en plein doute après leur début de saison peu glorieux. Il faudra toutefois se méfier d’une équipe blessée mentalement…

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